Cette photo fut retouchée pour ne pas se retourner contre l'URSS.
En effet, le soldat assurant l'équilibre de son camarade qui fixait le drapeau portait une montre à chaque poignet, ce qui pouvait laisser penser au fruit d'un pillage.
Il est vrai que le cortège d'horreurs qui a accompagné le siège de Berlin jusqu'à sa chute le 2 mai 1945 n'a d'égal que la barbarie nazie en URSS et parmi les meurtres et les pillages ce ne seront pas moins de 100 000 Berlinoises qui seront violées.
Cela n’excuse en rien l’abomination de ces viols collectifs ni des crimes de l’Armée Rouge (crimes d’ailleurs reconnus relativement tôt au contraire de ce que l’on peut parfois lire) mais à la haine de l’Allemand qui les traita comme des sous-hommes pendant tout le conflit, s’ajoute le niveau d’évolution de la société soviétique de l’époque qui, pour certaines peuplades, sortaient du Moyen-âge pour entrer dans l’époque du ‘’bonheur des peuples’’.
Mon beau-père, déporté une partie de la guerre à coté d’un camp russe me les a souvent décrits comme des ‘’sauvages’’ tout comme il m’a décrit le traitement qu’ils subissaient pas les Allemands (y compris les civils, j’insiste sur ce point) comme profondément inhumain.
Qui sème le vent récolte la tempête…
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En ces temps difficiles, il convient d'accorder notre mépris avec parcimonie, tant nombreux sont les nécessiteux.Citation de François René, vicomte de Chateaubriand