Militaria Les Héros Oubliés
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 massacre perpétré de soldats italiens septembre 1943

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laurentnice
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MessageSujet: massacre perpétré de soldats italiens septembre 1943   massacre perpétré de soldats italiens  septembre 1943 Icon_minitimeJeu 16 Aoû 2012 - 20:12

Aprés septembre 1943 et l'armstice Badoglio eurent lieu un séries de massacre de soldat italiens (céfalonie corfù...) pour ne citer que les plus connus

sur le front russe
je cite
"LV07BM43
Ens. Guido Bellatti Ceccoli
Cours du 1er avril 2010
Le sort tragique des unités italiennes engagées sur le front Russe
après le 8 septembre 1943
enquête menée par Jacek WILCZUR, Le tombe dell’ARMIR (Milano, Sugar editore,1964)
[Titre d’origine : Armira nie wröci do Italii, Ksiaszka i Wiedza]
Introduction (extraits)
On a beaucoup écrit sur la tragédie de l’ARMIR. Il a été dit et répété que les unités
italiennes furent décimés dans les steppes du Don, que les soldats italiens furent capturés par
dizaines de milliers par les soviétiques, que beaucoup d’entre eux moururent de faim et de froid
durant la retraite […]
Je ne suis pas un historien de la Seconde Guerre mondiale, je suis simplement un
journaliste. Si j’ai écrit un livre sur l’ARMIR ce n’est pas pour prendre position dans une histoire
qui, en définitive, appartient à d’autres, et encore moins pour formuler un jugement sur des
événements liés à la guerre. Mais tout citoyen, quelle que soit la partie du monde civilisé dans
laquelle il vit, a le devoir de dénoncer un crime dont il a été témoin, d’autant plus s’il a assisté à
des crimes qui blessent l’humanité entière. Peu importe si les victimes sont des étrangers, voire
des soldats venus chez nous comme ennemis […]
Pour moi, et pour tous ceux qui, comme moi, purent voir ce qu’il advint, après le 8
septembre 1943, des militaires italiens qui refusèrent l’alliance avec l’Allemagne nazie,
l’odyssée de l’ARMIR et de ses rescapés est une histoire qui reste à écrire. Une histoire de mort
et de souffrances inouïes, qui ne se déroule plus sur les champs de bataille, mais dans les
coulisses reculées du front. Des milliers de soldats italiens et d’officiers italiens sont mort sur le
territoire polonais, tués par leurs anciens alliés allemands. Et non seulement des soldats et
officiers de la 8ème Garnison, mais aussi d’autres unités déplacées aux divers endroits
stratégiques du front, lors de la capitulation de l’Italie.
Dans plusieurs de nos villages, villes et petites villes, les gens se souviennent encore
aujourd’hui des soldats et des officiers italiens. Ils se souviennent très bien des jeunes gens rieurs
qui se promenaient en uniforme dans les rues et les parcs davantage comme des touristes que
comme des envahisseurs. Mais, une autre image se superpose à celle-ci : celle des Italiens
conduits en prison, maltraités, frappés, tués par les SS et la Gestapo. Peu d’entre eux pouvaient
alors se souvenir que, durant plusieurs années, l’Italie et l’Allemagne avaient été alliées. Il n’y
avait pas de rancune envers ces soldats. Les gens savaient distinguer entre le fascisme et le
peuple italien. Dans ces jeunes mis à mort dans les « sables » de Lyczaków, affamés à Deblin,
Biala Podlaska, à Chelm et dans tant d’autres camps de concentration, on ne voyait que des
victimes du fascisme. Sur leurs visages rapidement vieillis, affligés, meurtris par les souffrances,
il nous semblait voir le reflet de la tragédie qui venait de s’abattre sur la Pologne […]
En Pologne, aujourd’hui encore, la Commission d’Enquête sur les Crimes Nazis continue
ses travaux et les recherches avancent ; de nouveaux documents sont périodiquement mis à jour.
J’aimerais que cette publication conduise à une clarification totale et objective des raisons pour
lesquelles tant de militaires de l’ARMIR, échappés à la mort et à la prison en Russie, ne sont
jamais rentrés en Italie.
Conclusion (extraits)
En vérité, lorsque les Italiens purent voir de près les méthodes appliquées par leurs
anciens alliés, la machine de crimes construite par l’Allemagne nazie était désormais parfaite en
tout point, elle fonctionnait sans aucune entrave. Ceux qui étaient pris dans cet engrenage
monstrueux, et déjà bien rodé sur les Polonais, les Russes, les Français et les militaires de bien
d’autres pays encore, avait bien peu de chances d’en sortir indemnes. L’élimination de la
garnison italienne de Léopolis, l’assassinat d’unités entières en Pologne, dans les Balkans, en
Grèce, ne furent pas des opérations inconsidérées, de la part des nazis, mais le résultat d’un
calcul mis au point pour « briser la résistance » de ceux qui étaient désormais décidés à dissocier
leurs responsabilités de soldats et d’hommes des turpitudes de la guerre nazie et fasciste.
Les Italiens qui ont pu survivre aux horreurs des camps de concentration nazis et à
échapper à l’emprise de ces barbares modernes, porteront toutefois pendant toute leur vie les
marques de leur horrible histoire. Il est vrai que plusieurs soldats et officiers italiens en Pologne
cédèrent face aux souffrances et aux flatteries ; mais, il faut dire aussi, pour leur rendre honneur,
que la plupart des prisonniers italiens surent affronter avec dignité et courage des épreuves très
dures. C’est pourquoi, beaucoup d’entre eux n’ont jamais fait retour à la maison. Le nombre de
tombes et de fosses communes de soldats italiens découvertes en Pologne, ou qui restent à
découvrir, témoignent de leur sacrifice […].
Une décision cruciale (pp. 24 ss)
Début septembre 1943, il y avait à Léopolis environ 2000 Italiens, des soldats et des
officiers. Après la libération de Mussolini du Gran Sasso, le commandement de la Wehrmacht
invita les officiers italiens, dont certains généraux de l’État Major de l’ARMIR, à une réunion
qui devait être en harmonie avec les entretiens en cours, plus ou moins au même moment, entre
Hitler et le Duce. On accorda aux Italiens deux jours de réflexion, pour décider du futur des
unités de l’ARMIR et de la garnison de Léopolis. Les négociations avec le commandement
italien n’étaient pas encore achevées, mais les Allemands avaient commencé à sonder, de leur
côté, les intentions des officiers italiens […].
Après ces deux jours, les officiers italiens résumèrent leur position en trois points :
1) les Italiens ont un nouveau gouvernement qui dirige les Forces Armées et la nation
et, à ce titre, c’est de lui que dépend également l’ARMIR ;
2) les troupes italiennes en déplacement sur le front oriental sont dans l’obligation de
s’en tenir aux disposition du gouvernement légal ;
3) le commandement de cette circonscription invite les autorités militaires
allemandes à consentir le rapatriement des Italiens qui le souhaitent.
Pendant ce temps, à Berlin, le Commandement suprême de la Wehrmacht mettait au point
les dispositions relatives au traitement à réserver aux militaires italiens (Grundsaetzliche
Richtlinien über die Behandlung des Soldaten des italienieschen Wehrmacht und Miliz n°
005282/43 g. Kdos, WFST/Qu 2.) : une première série de mesures (15.09.1943 et 30.09.1943)
prévoit que « tous les soldats qui ne sont pas restés aux côtés de l’Allemagne afin de poursuivre
les combats doivent être traités comme des prisonniers de guerre et considérés comme des
militaires italiens soumis à internement […] ».
Cependant, 25 jours plus tard, le Commandement Suprême des Forces Armées
Allemandes envoie un contrordre : « Conformément aux dispositions aux 2e paragraphe 3e alinéa
des Directives principales, les officiers italiens doivent être fusillés avec une procédure
sommaire, ou bien ils doivent être fusillés comme résistants. Selon les indications de l’État Major
de la Wehrmacht, cette prescription du Führer implique des mesures de nature politique qui ne
relèvent pas des compétences des tribunaux. Le Commandement Suprême des Forces Armées
prie d’informer les Tribunaux de ces directives, dans ce même esprit » […].
I. Principe de base :
Les soldats italiens doivent explicitement déclarer s’ils souhaitent continuer à combattre
de notre côté ou bien s’ils sont solidaires du traître Badoglio. Celui qui n’est pas avec nous est
contre nous et, par conséquent, devient prisonnier de guerre.
II. Il faut distinguer 3 groupes de soldats italiens, y compris la milice :
1) Les soldats italiens, fidèles à l’alliance, qui souhaitent :
a) continuer à combattre à nos côtés, armes à la main ;
b) sans prendre part directement aux combats, être engagés dans les organes de
service d’ordre et de sécurité, d’approvisionnement des unités de la Wehrmacht, ou bien dans la
marine de guerre ou dans les services de terre de la Luftwaffe.
2) Les soldats italiens qui ne souhaitent nous aider d’aucune manière
3) Les soldats italiens qui ont opposé une résistance active ou passive, ou bien qui ont noué des
contacts avec l’ennemi ou avec des bandes armées.
4)
Le document détaille ensuite le cas des officiers et des sous officiers. Il détaille ensuite les
mesures radicales prises dans les 3 cas de figure :
1) Les officiers et les soldats fidèles à l’alliance gardent leurs armes et un traitement d’honneur.
2) Les officiers et les soldats ne souhaitant pas aider l’armée allemande doivent être désarmés et
traités comme des prisonniers de guerre.
3) Les officiers ouvertement hostiles doivent être fusillés avec une procédure sommaire ; les
sous-officiers et les soldats doivent être transportés à l’Est dans des camps de travail.
Mais la suite du livre montre les horribles massacres dont ont été victimes plusieurs dizaines de
milliers d’Italiens, à cause des représailles sauvages des Allemands après le tournant du 8
septembre 1943, et au moment où la position d’Hitler devenait de plus en plus critique faces aux
avancées des forces Alliées.
Texte établie par Mlle I. Montersino, Université de Paris –Sorbonne.


Dernière édition par laurentnice le Jeu 16 Aoû 2012 - 21:59, édité 1 fois
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MessageSujet: Re: massacre perpétré de soldats italiens septembre 1943   massacre perpétré de soldats italiens  septembre 1943 Icon_minitimeJeu 16 Aoû 2012 - 20:18

iles de Kos et Leros

A Kos, il s'agit de la 50a div. Fanteria Regina. Kos est l'épisode peu connu ou 90 officiers italiens fusillés pour avoir combattu les Allemands avec les Angleis débarqués sur l'ile. Parmi eux, le colonel Felice Leggio, commandant un des deux régiments. Voir Opération Eisbar.

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MessageSujet: Re: massacre perpétré de soldats italiens septembre 1943   massacre perpétré de soldats italiens  septembre 1943 Icon_minitimeJeu 16 Aoû 2012 - 20:24

céfalonie et corfù voici une synthèse des documents que je possède

source wiki
"le massacre de Céphalonie est une tuerie sur l’île grecque de Céphalonie perpétrés par les Allemands à l’encontre des soldats italiens après le 8 septembre 1943, date à laquelle la signature de l’armistice italien fut rendu publique. La garnison de le l’île était confiée principalement à la division Acqui.

Après l’entrée en guerre de l’Italie en 1940 aux côtés de l’Allemagne, Mussolini opta pour l’expansion de la « glorieuse nation italienne » sans la péninsule balkanique. Son Objectif était de conquérir la Grèce pour s’assurer la domination économique et stratégique en Méditerranée et affronter ainsi l’ennemi britannique à armes égales. Pourtant, l’expédition en Grèce ne tourna pas à son avantage. L’armée grecque, plus habile et mieux préparée dans la guérilla d montagne, eu souvent l’avantage jusqu’à l’arrivée des troupes allemandes qui vinrent au secours de l’armée italienne, contraignant ainsi les Grecs à la reddition.
Les îles de Corfou, Zante et de Céphalonie étaient d’une grande importance stratégique car elles interdisaient l’accès à Patrasso et au golfe de Corinthe. C’est pourquoi les divisions des deux armées stationnaient sur ces îles, la plus tristement célèbre est la division Acqui, commandée par le général Antonio Gandin.
Jusque dans les premiers mois de 1943, la cohabitation entre les Italiens et les Allemands fut plutôt satisfaisante sur l’île. Les choses changèrent le 8 septembre quand le gouvernement Badoglio signa l’armistice. Les premières réactions de la division Acqui furent mêlées de stupeur et de joie, les soldats étaient conscients que la guerre se terminait pour eux. Toutefois, cette joie se transforma en peur quand, entre la nuit du 8 au 9 un radiogramme du général Vecchiarelli (le commandant en chef des troupes sur le territoire grec) annonça que les rapports italo-allemands n’étaient plus ceux que l’on a avec un partenaire et que l’ancien ami devait être considéré maintenant comme l’ennemi.

Le 9 septembre, la situation devient dramatique, un second télégramme, toujours de Vecchiarelli, qui exige que l’armée rende ses armes aux Allemands et de quitter ses postes avancés. Le général Gandin était ainsi dans une situation ambiguë : comment pouvait-il déposer les armes à ceux qui étaient considérés comme ennemis, et allant à l’encontre des décisions du gouvernement ? Il décida de temporiser et retira en premier lieu les troupes qui occupaient les avant-postes.

Le 10 septembre, les Allemands présentèrent aux troupes italiennes un ultimatum, leur imposant de consigner leurs armes sur la place centrale d’Argostoli devant toute la population, se qui signifiait une humiliation complète. Il est inutile de dire que la division Acqui, en apprenant les conditions de reddition, refusa catégoriquement l’ultimatum.

Le 11, les Allemands appelèrent au rapport le général Gandin pour lui exposer les nouvelles conditions et pour clarifier l’attitude des Italiens. Gandin devait choisir entre rester à disposition des Allemands, combattre les Allemands, rendre les armes. Le soir même, il convoqua une assemblée composée de soldats de la division avant de donner sa réponse aux Allemands. Pendant ce temps, ceux-ci désarmaient et faisaient prisonnier le personnel des batteries côtières qui de Lixuri, dans la péninsule de Palaki, contrôlaient la baie d’Argostoli.

Le 14 septembre, le général Gandin invita tous les soldats de la division à exprimer leur opinion sur les trois possibilités dont ils disposaient. La réponse fut unanime et quasi plébiscitaire : « Guerre à l’Allemand ! ». Au même moment arrivait de Rome un radiogramme qui invitait à prendre les armes contre l’ennemi. La division avait alors l’appui total du gouvernement. A 12h le général consigna au commandement allemand la réponse définitive : ainsi commença l’enfer de Céphalonie.

Le 15, les Allemands numériquement inférieurs, firent parvenir sur l’îles de nouveaux bataillons, appartenants à deux divisions : la 1ere GebirgsDivision Edelweiss et la 104e JaegerDivision aidées par la présence de l’aviation contre lesquelles les Italiens pouvaient seulement opposer le feu de quelques pièces de 20 mm et le tir antiaérien de l’unique groupe de 75/27 ainsi que quelques pièces d’artillerie de campagne. L’âpre et sanguinaire bataille se prolongea jusqu’au 22 septembre sous le feu ininterrompu des Stuka et des bombardements allemands qui décimèrent la division.
Malheureusement, la précédente décision prise par Gandin, abandonner les hauteurs du centre de l’île comme geste pacifique à l’égard des Allemands, se transforma en un crucial désavantage tactique, car de ces hauteurs les points de débarquement pouvaient être battus par le feu et entraver fortement les renforts allemands.

Le 22 septembre, le général Gandin décida de convoquer un nouveau conseil de guerre durant lequel on décida de se rendre aux Allemands. La nappe blanche, sur laquelle les officiers mangeaient tous les soirs, était hissée en signe de reddition sur le balcon de la maison qui était le siège du commandement tactique. Les soldats italiens qui avaient été capturés et prisonniers précédemment, furent fusillés sur l’ordre personnel de Hitler, qui considérait les Italiens comme des traîtres.

Les ratissages et les exécutions continuèrent toute la journée suivante causant la mort de 4500 soldats et 155 officiers ; le bilan devait encore augmenter. En fait, entre le 23 et le 28 septembre, les Allemands continuèrent leur opération de « nettoyage », tuant ainsi plus de 5000 soldats et 129 officiers dont le général Gandin. L’horrible crime accompli, il fallait faire disparaître toutes traces : à l’exception de quelques corps laissés sans sépulture, la plus grande partie des dépouilles furent brûlés et les restes jetés à la mer. Des 163 survivants, certains furent déportés en Allemagne ou en Russie, d’où la plupart ne revint jamais. Parmi les quelques évadés, il y eu l’héroïque aumônier militaire, le père Romualdo Formato, qui écrivit dans les années cinquante un livre intitulé « l’eccidio di Cefalonia » (le massacre de Céphalonie) ainsi que l’écrivain Luigi Silori.


Le ministère de la défense n’a jamais fait d’estimation des pertes. L’historien Rochat avance le chiffre de 6500 victimes, dont seulement 1300 tombés au combat, alors que Caruso ajoute les victimes des naufrages et arrive au chiffre de 9400 morts.

En souvenir à la division Acqui, un monument a été élevé à Vérone, et chaque année le 21 septembre, le massacre est commémoré en présence des autorités civiles et militaires. Le 1er mars 2001, le Président de la République Italienne Carlo Ciampi a visité Céphalonie, prononçant un discours soulignant « leur choix conscient fut le premier acte de résistance d’une Italie libérée du fascisme ». Le 25 avril 2007, le Président de la République Italienne Giorgio Napoletano dit « s’inspirer de son prédécesseur », a voulu fêter le 62e anniversaire de la libération aussi à Céphalonie. Plus qu’un hommage de forte valeur symbolique, c’est aussi la toute première fois que le souvenir du 25 avril (fête de la libération) est fêté par un Président de la République en charge en dehors du territoire national."

les Allemands ont lesté et jeté au large des côtes de Céphalonie des centaines de soldats italiens. Les responsabilités de Badoglio sont importantes mais la situation était tellement complexe et tordue que c'était inévitable. La "Acqui" a été sacrifiée sur l'autel de la "co-belligérance", mais l'attitude de certains officiers de la division a été très ambigüe et les polémiques ne cessent pas.




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général Gandin commandant de la division acqui

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En Juin 1943 , la division italienne Acqui, forte de 11 500 hommes et 525 officiers occuppe la totalité de l´île de Céphalonie .

Cette unité de l´armée italienne , placée sous le commandement du Général Antonio Gandin , aligne trois régiments d´infanterie

( 17ème,18ème ,et 317ème RI) ainsi que le 33ème régiment d´artillerie .


Le 25 Juillet 1943 , Mussolini est arrêté , le 8 septembre le maréchal Badoglio signe avec les Alliés un armistice qui sort théoriquement l´Italie du conflit .

Hitler ne veut pas reconnaître que l´Italie est desormais un pays neutre, craignant que l´Italie se range aux côté des alliés envisage de désarmer les forces militaires italiennes au plus vite , en occuppant la péninsule menacée par un débarquement allié .

Avant l´armisitce du 8 septembre Hitler a déja fait rentrer en Italie 17 divisions allemandes dont 3 panzerdivisions .

Les troupes italiennes sont placées dans une situation tragique ; se faire désarmer par les anciens alliés allemands ou résister avec le risque de représailles massives .

Le commandement allemand annonce que les unités Italiennes désarmées seront démobilisées et les hommes pourrons retourner à la vie civile .

C´est un piège pour éviter une résistance générale de l´armée italienne .

Les premiers soldats desarmés sont faits prisonniers de guerre .

Début septembre le général Antonio Gandin et ses 13 000 soldats sont opposés à 2 000 soldats allemands issus de 3 bataillons de montage . Même si Gandin dispose pour le moment d´une supériorité numérique les Allemands sont mieux équipés et peuvent compter sur leurs troupes en Grèce continentale plus de 300 000 hommes avec un appui aérien de près de 400 avions .

La division Acqui se voit dans l´optique de se faire desarmer .Mais dès le 10 septembre des officiers italiens craignant le pire et refusant de se rendre prennent contact avec la resistance grecque locale .

Le 11 septembre la résistance répand de nombreux tracts annonçant l´internement de la garnison italienne de l´île de Leucade malgrès la remise des armes aux Allemands .

De nombreux soldats et officiers italiens commençent à fraterniser avec les partisants grecs de Céphalonie . Le 12, les Allemands désarment des Italiens à Luxuri , à l´ouest de l´île, et se saisissent des canons de deux batteries du 33ème régiment d´artillerie sur la presqu´île de Paliki .

Des soldats Italiens refusant de se faire désarmern sont abbatus par les Allemands . Gandin , furieux exige que le commandement Allemand face arrêter l´envoi des renforts allemands sur l´île . Divers officiers et soldats italiens choqués par l´attitude Allemande menaçent Gandin de mort s´il accepte les exigences Allemandes .

Le 13 septembre au matin, sur l´ordre du capitaine Appollionio , trois batteries du 33ème régiment d´artillerie suivies de deux batteries de la marine ouvrent le feu sur des navires allemands de transport de troupe se dirigeant vers le port d´Argostoli .

Un Navire Allemand est coulé, l´autre , fortement endommagé, on brandit un drapeau blanc . Une quinzaine de soldats allemands ont été tués ou blessés .

Des partisants grecs, guidés par le capitaine Apollonio , s´emparent du PC du génie Allemand de l´île et tuent un officier .

Malgrès ces incidents le commandement allemand entreprend encore de négocier . IL cherche en vérité à gagner du temps, afin de faire débarquer dans l´île un maximum de troupes .

Le colonel Bush de la Luftwalfe propose au général Gandin que la division Acqui se retire au plus vitedans la partie sud-est de l´île, avec toutes ses armes .

Or entre temps , le général Lanz, commandant le 22ème corps allemands de montagne , rejoint la Céphalonie pour exiger le désarmement immédiat des troupes italiennes . N´ayant pas d´autre solution Gandin accepte les propositions allemandes .

La remise des armes se fera le 14 septembre à midi . Alors qu´une issue semble aboutir , le commandement italien de l´Italie du Sud , placé sous les ordres du maréchal Badoglio , donne l´ordre aux garnisons italiennes de Céphalonie , Corfou et autres îles de s´opposer à la remise des armes .


Le 14 septembre Gandin annonce au commandement allemand que la division Acqui ne remettra pas les armes . La réponse allemande ne se fait pas attendre .

Dès le 15 des bombardiers Stukas bombardent les positions italiennes . La bataille de Céphalonie commence . les Allemands disposent désormais dans l´île d´une dizaine de bataillons de montagne .

En fin de journée , deux bataillons italiens repoussent les Allemands sur Kardakata . La première phase de la bataille de Céphalonie se termine victorieusement pour les Italiens : deux bataillons allemands de montagne on été défaits , plusieurs débarquement de la Whermacht on été repoussés .

les Allemands se réorganisent en faisant débarquer de nouvelles troupes à Mitika et Akrotiri .

Les Italiens perdent 2 Jours à regrouper leurs forces . ILs ne se remettent en mouvement que le 17 .

Le 18 après une résistance héroique le premier bataillion du 317 RI est anéanti près du pont Mimoniko par les attaques aériennes allemandes . Le bataillon italien fort de 600 hommes compte 400 tués ! Hitler a donné l´odre de ne faire aucun prisonniers.


Le 21 Septembre 3 bataillons italiens sont anéantis . Deux bataillons italiens rescapés doivent s´opposer à une dizaine de bataillons ennemis appuyés par les blindés et l´aviation .


Le 22 devant Argostoli le 3ème bataillon du 17 RI livre à deux bataillons allemands un ultime combat qui se termine par la mort de 200 de ses soldats .

Le dernier bataillon lutte jusqu´à l´épuisement total des munition dans Argostoli même .

La bataille de Céphalonie ne peut que prendre fin .

En une semaine de comabt l´héroique division Acqui compte 1646 soldats tués . les Allemands déplorent 1 500 soldats tués, 19 avions abbatus et 17 navires coulés . La résistance italienne a été acharnée .

La capitulation des Italiens a pour épilogue un bain de sang qui se solde par le massacre
des prisonniers. A Saint-Théodore, tous les officiers y compris Gandon sont massacrés.

Se présentant face au peloton d´execution Gandin jette à ses pieds ses 2 décorations allemandes en lançant

:" Lâches, tirez et visez juste vive l´italie !"

Près de 30 000 prisonniers italiens sont entassés sur des pontons dans une zone minée et périssent victimes des explosions .



les Allemands massacrent encore à la mitrailleuse 5000 prisonniers.

En ajoutant les 1646 soldats et officiers morts au combat et les prisonniers massacrés il a eu 9646 victimes dans la division Acqui .


Cette division a été quasiment anéantie . Les rescapés de cet enfer se sont réfugiés dans les montagnes et grossissent les rangs des partisants grecs .

ILS participerons activement à la libération de l´île en septembre 1944 puis seront rapatriés en Italie en novembre de la même année .

La bataille de Céphalonie représente un des évènements militaire les plus tragiques de la Seconde Guerre mondiale .

Source : Histoires héroiques et extraordinaires de la seconde guerre mondiale . Livre écrit par Dominique Lormier

quelques sites
http://www.cefalonia.it/
http://it.wikipedia.org/wiki/33%C2%AA_Divisione_fanteria_%22Acqui%22
http://www.google.fr/search?client=safari&rls=en&q=divisione+acqui&ie=UTF-8&oe=UTF-8&redir_esc=&ei=nsvpTtm1CMmaOueRhKkI
http://www.divisioneacqui.com/
http://www.associazioneacqui.it/
http://www.isaremi.it/
http://www.hfmeyer.com/francais/publications/lagrece.html
http://www.carnialibera1944.it/resistenza/cefalonia_2.htm
http://www.robertozamboni.com/p/prova.html
http://www.buscoldo.it/personaggi.htm
http://potrebbeesseregiusto.blogspot.fr/2010/01/cefalonia-divisione-acqui.html
http://guerramondiale2.blogspot.fr/2011/02/l-eccidio-di-cefalonia.html



Dernière édition par laurentnice le Jeu 16 Aoû 2012 - 20:27, édité 1 fois
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MessageSujet: Re: massacre perpétré de soldats italiens septembre 1943   massacre perpétré de soldats italiens  septembre 1943 Icon_minitimeJeu 16 Aoû 2012 - 20:24

Elenco Caduti Divisione Acqui della Toscana 1^ Parte

QUARTIER GENERALE

Ten.Col. Battista FIORETTI n. 04/10/1905 Montepulciano m il 24/09/43 Cefalonia



17° Reggimento di Fanteria “ACQUI

Sold. Cesare ANICHINI n. 30/12/13 Siena m. 02/09/43

S.Ten. Danilo BIENTINESI n. 16/09/20 Rosignano m. 11/03/45

Sold. Menando BERTELLI n. 19/02/24 Scandicci m. 26/03/44

Sold. Gualtiero BALESTRI n. 25/11/23 Laiatico m. 08/09/43

Cap. Giovanni Petronio BRANCOLI n. 18/11/14 Lucca m. 22/09/43

Cap. Giovanni CAROCCI n. 26/07/1909 Firenze m. 24/09/43

S.Ten. Antonio CEI n. 04/08/15 Viareggio m. 22/09/43

Sold. Valentino GUERRINI n. 17/10/23 Volterra m. 08/09/43

Sold. Corrado GONNELLI n. 23/09/23 Reggello m. 31/05/44

Sold. Fernando MAZZEI n. 08/04/24 Montecatini m. 20/05/44

Sold. Alberto ROSSI n. 01/02/16 Lucca m. 11/09/43

Sold. Mario SORANZO n. 27/08/23 Livorno m. 02/11/43

Cap. Alberto VENEZIANI n. 11/11/1903 Firenze m. 14/09/43

18° Reggimento di Fanteria “ACQUI

Sold. Mauro BARATTINE n. 18/10/23 Carrara m. 05/09/43

Sold. Ugo BERTI n. 16/10/23 Firenze m. 26/06/45

Sold. Pietro BRANDINI n. 01/06/20 Livorno m. 16/08/44

Sold. Walter BRUNACCI n. 31/12/24 Arezzo m. 18/01/45

Sold. Sante BRUNI n. 26.12.24 Bibbiena m. 18.10.43

Sold. Virgilio CORAZZINI n. 11/01/1908 P.S.Stefano m. 06/11/44

Sold. Pietro ERCOLINI n. 02/06/18 Pescia m. 12/03/44

Sold. Angiolo FRASCHETTI n. 14/09/18 Vicchio m. 29/01/45

Sold. Filiberto GUADAGNI n. 20/11/16 Carrara m. 05/09/43

Sold. Attilio MERLINI n. 07/12/16 Carrara m. 08/09/43

C.le Giuseppe MURATORI n. 25/04/18 Porretta T. m. 05/1944

Sold. Santi NOCENTINI n. 03.11.24 Arezzo m. 14.10.44

317° Reggimento di Fanteria “ACQUI

S.Ten. Coraggio BERNARDINI n. 15/11/21 Calci m. 24/03/43

Sold. Silvano CACCIALUPI n. 18.12.23 Arezzo m. 2.9.43

Sold. Amleto CAFISSI n. 15/06/22 Prato m. 30/08/43

Serg. Atos DANZINI n. 08/01/21 Pomarance m. 22/09/43

Mag. Nello FANUCCHI n. 21/06/96 Pisa m. 22/09/43

S.ten. Gaetano GORI n. 20/10/14 Vicchio m. 22/09/43

Serg.Magg. Bruno MASSAGLI n. 10.10.17 Lucca m. 08.09.43

Sold. Vasco MAZZUOLI n. 20.02.23 Montespertoli m. 21.09.43

Sold. Sante PICCHI n. 01.02.22 Asciano m. 08.09.43

Sold. Gino PIERINI n. 02/07/23 Vicchio

Sold. Domenico RAPINI n. 03.06.21 Arezzo m. 14/09/43

S.Ten. Libero SALVESTRINI n. 12./01/14 Firenze m. 20/09/43

Serg. Umberto SMERILLI n. 29/12/10 Lucca m. 26/09/43Ellenco Caduti Divisione Acqui della Toscana 2^ Parte

33° Reggimento di Artiglieria “ACQUI"

Serg. Ermanno BRUNI n. 09/07/19 Portoferraio m. 22/09/43

Art. Zelindo CANTINI n. 30/07/20 Volterra m. 19/11/44

Art. Esmeraldo CAPITANI n. 01/09/20 Portoferraio m. 14/02/44

Art. Florio CELLESI n. 23/06/19 Grosseto m. 31/08/44

Art. Bruno CHIARUGI n. 30/05/20 Crespina m. 22/09/43

Art. Pietro CIONI n. 02/07/13 Montaione m. 21/01/44

C.le Vero FAZZINI n. 01/01/19 Bibbona m. 22/08/44

Art. Italo FOSCHETTI n. 15/04/20 Pitigliano m. 25/05/44

C.le Magg. Leonello GABRIELLI n. 30/07/20 Massarosa m. 08/09/43

Art. Gino GIUSTI n. 04/09/19 Montaione m. 27/05/44

Art. Leontino LAZZERI n. 11/03/16 Piombino m. 08/09/43

Art. Giuseppe LELLI n. 31/03/19 San Miniato m. 08/05/44

Art. Oliviero LEOPARATTI n. 08/03/21 Lamporecchio m. 05/09/43

Art. Angelo MARTORELLA n. 13/01/20 Portoferraio m. 18/09/43

Art. Corrado MASONI n. 12/11/18 Pisa m. 22/09/43

Art. Ferdinando NESTI n. 20/02/13 Piteglio m. 21/08/44

Art. Cesare PAGLIAI n. 11/01/21 Pistoia m. 08/10/44

Art. Secondo PAPINI n. 11/03/13 Lamporecchio m. 05/09/43

C.le Magg. Angiolo PAPINI n. 16/12/18 Scandicci m. 21/09/43

C.le Magg. Pietro PASQUALETTI n. 26/02/08 Castelfiorentino m. 01/11/44

C.le Giulio PETRUCCI n. 18/03/20 Serravalle P. m. 00/09/43

Art. Aldino PINOTTI n. 27/08/16 Pontremoli m. 13/10/45

Art. Riccardo PIZZA n. 02/06/15 Pescia m. 05/09/43

C.le Antonio ROSATI n. 11/12/20 Scansano m. 08/09/43

Art. Fernando TOMMASI n. 07/11/19 Camaiore m. 00/05/44

Art. Leonello TONARELLI n. 18/09/21 San Marcello P.se m. 12/10/45

Art. Agostino VETTORI n. 23/10/23 Vicchio m. 08/09/43



VII° Gruppo Artiglieria di Corpo D’Armata

S.Ten. Giuseppe BECATTINI n. 18/02/19 Figline V.A. m. 22/09/43

Sold. Giovanni GAMBOGI n. 18/09/19 Pescaglia m. 08/09/43
Battaglione Mitraglieri Corpo D’Armata

Sold. Arturo BALDUCCI n. 28/06/23 Montespertoli m. 03/03/44

Sold. Ciro CROCIANI n. 19/10/23 Chianciano m. 08/09/43

S.Ten. Massimiliano SPALLAZZI n. 10/10/21 Firenze m. 08/09/43



Marina Militare

Serg. Alfredo BERTOZZI n. 05/08/15 Lucca m. 12/05/43



31^ Compagnia Genio Artieri

Sold. Angelo LORENZONI n. 28/04/21 Stazzema m. 08/09/43



33^ Compagnia Genio T.R.T

Sold. Giulio BRUNELLI n. il 01/10/1919 a Bagnone m. 22/09/1943

Sold. Giuseppe GIANNINI n. 07/11/14 Pistoia m. 21/09/43

Sold. Mario LEONCINI n. 26/12/16 Montaione m. 08/09/43

Sold. Giuseppe MARINI n. il 14/01/1920 Fivizzano m. 22/09/1943

C.le Adino MARIOTTI n. il 12/10/1915 a San Giuliano Terme m. 22/09/1943

Capotano Astor NATALI n. 30/01/12 Pistoia m. 22/09/43

C.le Magg. Oscar POLLASTRI n. 23/02/14 San Casciano m. 08/09/43





333^ Batteria Contraerea da 20 mm

Sold. Settimio BETTI n. 26/10/14 Bibbiena m. 01/12/45

CADUTI E DISPERSI APPARTENENTI A REPARTI VARI DISLOCATI A CEFALONIA

Sold. Roberto ALTIERO n. 18/04/23 Livorno m. 22/09/43

Ten. Giuseppe DE GIUDICI n. 26/12/19 Arezzo m. 24/09/43

Sold. Giulio GIUSTI n. 06/02/20 Capannori m. 08/09/43

Sold. Angiolino LALANDINI n. 30/07/17 Orbetello m. 23/09/43

Sold. Federico NOLI n. 10/09/15 Sinalunga m. 08/09/43

Sold. Sauro SORRESINA n. 01/09/18 Massa Marittima m. 23/09/43

Elenco Caduti Divisione Acqui della Toscana 3^ Parte



Battaglione Mitraglieri Corpo D’Armata

Sold. Arturo BALDUCCI n. 28/06/23 Montespertoli m. 03/03/44

Sold. Ciro CROCIANI n. 19/10/23 Chianciano m. 08/09/43

S.Ten. Massimiliano SPALLAZZI n. 10/10/21 Firenze m. 08/09/43



Marina Militare

Serg. Alfredo BERTOZZI n. 05/08/15 Lucca m. 12/05/43



31^ Compagnia Genio Artieri

Sold. Angelo LORENZONI n. 28/04/21 Stazzema m. 08/09/43



33^ Compagnia Genio T.R.T

Sold. Giulio BRUNELLI n. il 01/10/1919 a Bagnone m. 22/09/1943

Sold. Giuseppe GIANNINI n. 07/11/14 Pistoia m. 21/09/43

Sold. Mario LEONCINI n. 26/12/16 Montaione m. 08/09/43

Sold. Giuseppe MARINI n. il 14/01/1920 Fivizzano m. 22/09/1943

C.le Adino MARIOTTI n. il 12/10/1915 a San Giuliano Terme m. 22/09/1943

Capotano Astor NATALI n. 30/01/12 Pistoia m. 22/09/43

C.le Magg. Oscar POLLASTRI n. 23/02/14 San Casciano m. 08/09/43





333^ Batteria Contraerea da 20 mm

Sold. Settimio BETTI n. 26/10/14 Bibbiena m. 01/12/45



CADUTI E DISPERSI APPARTENENTI A REPARTI VARI DISLOCATI A CEFALONIA



Sold. Roberto ALTIERO n. 18/04/23 Livorno m. 22/09/43

Ten. Giuseppe DE GIUDICI n. 26/12/19 Arezzo m. 24/09/43

Sold. Giulio GIUSTI n. 06/02/20 Capannori m. 08/09/43

Sold. Angiolino LALANDINI n. 30/07/17 Orbetello m. 23/09/43

Sold. Federico NOLI n. 10/09/15 Sinalunga m. 08/09/43

Sold. Sauro SORRESINA n. 01/09/18 Massa Marittima m. 23/09/43
source association Divisione Acqui Firenze
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MessageSujet: Re: massacre perpétré de soldats italiens septembre 1943   massacre perpétré de soldats italiens  septembre 1943 Icon_minitimeJeu 16 Aoû 2012 - 21:40

Merci Laurent pour l'ensemble de ces témoignages sur les massacres des soldats Italens pra les Nazis. Je n'avais encore rien lu sur le front Russe. c'est boulversant.....

_________________
Salutations amicales
Didier
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MessageSujet: Re: massacre perpétré de soldats italiens septembre 1943   massacre perpétré de soldats italiens  septembre 1943 Icon_minitimeJeu 16 Aoû 2012 - 21:51

il y en à eu d'autres en pologne et en Grèce surtout dans la mer Egée ...
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MessageSujet: Re: massacre perpétré de soldats italiens septembre 1943   massacre perpétré de soldats italiens  septembre 1943 Icon_minitimeVen 17 Aoû 2012 - 18:57

musée de la division acqui association Italo Greca (Mediterraneoass) à Cefalonia/Argostoli
c'est un rêve pour moi que d'y aller peux être un jour en attendant voici quelques images prise par l'association qui le gère

massacre perpétré de soldats italiens  septembre 1943 30902410

Italo Greca (Mediterraneoass) https://www.facebook.com/media/set/?set=a.1023681395471.2004340.1328329841&type=3

http://mediterraneoass.blogspot.fr/

massacre perpétré de soldats italiens  septembre 1943 53243810
massacre perpétré de soldats italiens  septembre 1943 38935210
massacre perpétré de soldats italiens  septembre 1943 2345_110
massacre perpétré de soldats italiens  septembre 1943 4272_110
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MessageSujet: Re: massacre perpétré de soldats italiens septembre 1943   massacre perpétré de soldats italiens  septembre 1943 Icon_minitimeVen 17 Aoû 2012 - 23:35

massacre perpétré de soldats italiens  septembre 1943 05241010


Sur le monument, plaques différentes sont placés, le tout dans le texte italien et grec.
Sur l'une des plaques ce texte:

AL SOLDATI DELLA DIVISIONE "ACQUI"
MARINALE FINANZIERI DI PRESIDIO NELL' ISOLA
OFFERTISI VOLONTARIAMENTE
NELLA LOTTA CONTRO GLI AGGRESSORI NAZISTI
CADUTI DAL 15 AL 26 SETTEMBRE 1943
IN COMBATTIMENTO: UFF. 65 SOTTUFF. E SOLDATI 1250
FUCILATI: UFF. 155 SOTTUFF. E SOLDATI 5000
DISPERSI IN MARE: SOTTUFF. E SOLDATI 3000
L'ITALIA RICONOSCENTE

sur le lieu d'exécution des officiers (semble t'il casa rosa)

IN QUESTA FOSSA VENNERO
AMMASSATE LE SALME DI
PARTE DEI 136 UFFICIALI
DELLA DIVISIONE ACQUI
FUCILATI DAI TEDESCHI A
S. TEODORO IL 25-26/9/1943



source http://www.ww2museums.com/article/12433/Memorial-Acqui-Division-Kefalonia.htm?p=0
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MessageSujet: Re: massacre perpétré de soldats italiens septembre 1943   massacre perpétré de soldats italiens  septembre 1943 Icon_minitime

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